La convention, signée notamment par Départements de France et France Enfance protégée, vise à améliorer l'accès des jeunes majeurs de l'ASE au logement social.

[REPORTAGE] Expérimenté depuis cinq ans au sein de la pouponnière du Village Saint-Exupéry, à Avrillé (Maine-et-Loire), le programme Pégase vise à améliorer le suivi médical des jeunes enfants vulnérables par un repérage et une prise en charge renforcés et coordonnés. L’objectif : prévenir les effets de la maltraitance sur leur santé.

A l’initiative de la députée Isabelle Santiago (PS) et soutenu par des parlementaires républicains, un texte a l’ambition d’instaurer des conditions d’accompagnement adaptées pour l’ensemble des établissements d’accueil de la protection de l’enfance.

Il a 35 ans, d’un coup de maillet sec et rapide le président de l’Assemblée Générale de l’ONU déclarait adoptée "à l'unanimité" la Convention internationale relative aux droits de l’enfant sans qu’aucun débat n’ait été ouvert. Et pour cause tout s’était joué en coulisses sur 10 ans ! Les compromis qui s’imposaient (notamment sur l’IVG, …

TRIBUNE. Médecins, enseignants et travailleurs sociaux sont souvent conduits à agir pour protéger des enfants en danger, mais ils s’exposent ainsi à des représailles de l’entourage familial. Davantage doit être fait pour les protéger, estime un collectif de soignants, ainsi que les dirigeantes du mouvement citoyen Les Voies.

Les associations de la Dynamique pour les droits des enfants dressent un "bilan en demi-teinte" de l’application, par la France, de la convention internationale des droits de l'enfant (CIDE) de 1989.

A la veille du 20 novembre 2024, Journée internationale des droits de l’enfant, un rapport rédigé par plusieurs acteurs majeurs de la protection de l’enfance regroupe 70 actions concrètes pour enrayer la crise sans précédent que traverse le secteur et rétablir l’efficacité de ce service public.

Dans un courrier adressé au Premier ministre et au ministère de la Justice le 15 novembre, plus de 60 associations de protection contre les violences, une trentaine de parlementaires, et 200 professionnels de santé et du social demandent la saisie de l’Inspection générale de la justice. Ils souhaitent qu’une mission d’enquête soit menée afin de comprendre les défaillances qui ont lieu au sein de la juridiction d’Orléans au sujet de l’affaire Pauline Bourgoin.

Le 13 novembre dernier, le Sénat examinait une proposition de loi relative à la création d’une ordonnance de sûreté pour les mineurs subissant des violences. A l’issue des débats, le texte a été radicalement modifié par la chambre haute du Parlement. Pascal Cussigh, avocat et président de CDP-Enfance, alerte sur les conséquences de ce vote.

Les deux anciennes ministres et secrétaires d’Etat chargées de l’enfance doivent être reçues respectivement le 19 et le 20 novembre par la commission d’enquête sur les manquements des politiques publiques de protection de l’enfance de l'Assemblée nationale.