« Le ping-pong, ça permet de casser les barrières , expliquent Laly Windrif et Tanguy Poulain, deux des sept étudiants de l’IRTS d’Anzin, l’école des travailleurs sociaux, à l’origine du projet. Ce n’est pas facile, quand on est dans la rue d’aller vers les institutions, alors on est allé vers eux, les sans-abri, en les invitant à faire un ping-pong. »