Dans son dernier ouvrage, le sociologue Edouard Gardella analyse les règles que s’efforcent de suivre les travailleurs sociaux venant en aide aux sans-abri. Loin de s’en tenir à une relation asymétrique marquée par le seul devoir de protection, ils tendent à lui substituer une « solidarité individualiste », faite d’un idéal égalitaire.