Oumar, Ousmane et Fodé sont arrivés en France alors qu’ils étaient mineurs, sont allés à l’école, ont appris un métier, avaient un travail. Aujourd’hui, ils sont sous le coup d’une OQTF avec d’autres jeunes majeurs étrangers installés dans les Ardennes. Des associations et des chefs d’entreprise les soutiennent.