Ces tags, réalisés dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 avril, ciblent des étudiants ayant récemment critiqué le blocage comme mode d’action contre la réforme des retraites. Des faits qui s’ajoutent à de « multiples microagressions du quotidien », selon le directeur de l’Institut d’études politiques, Pierre Mathiot.