Le sujet est porté par les associations accompagnant la grande pauvreté, les avocats de familles dénonçant des placements abusifs et le récent rapport parlementaire d’Isabelle Santiago. Complexe, il interroge à la fois les évolutions du repérage, l’abaissement du seuil de tolérance face aux violences subies par les enfants, les évaluations des travailleurs sociaux et les capacités d’accueil du secteur.