Dès la rentrée, et parfois même avant, nombre de familles prévoient de remplir les soirées et les week-ends de leurs adolescents avec du soutien scolaire. Un marché à plusieurs milliards d’euros, dont le recours contribue à creuser les écarts sociaux, au sein d’un système éducatif français déjà parmi les plus inégalitaires d’Europe.