Pour mieux cadrer les mineurs délinquants, le chef de l'État veut ouvrir "le chantier de l'autorité parentale" à la fin de l'été. Ceux pris en charge par l'aide sociale à l'enfance (ASE) sont aussi pointés du doigt. La Cnape, principale fédération des associations de protection de l'enfant, dénonce un discours présidentiel qui "pèse lourd" quand il assigne ces jeunes à une trajectoire de violence.